Le vin a une couleur jaune citron pâle. Le nez est un peu réservé, mais offre de la densité, de la gourmandise et des notes de vanille fraîche, de miel et d'écorces de citron confit au premier nez. Après l'aération, on retrouve les arômes de fleurs de tilleul, d'acacia, de fleur de pommier, de fruits à noyau juteux (abricot, pêche jaune, mirabelle), de confiture d'orange et une légère touche de torréfaction (noisette toastée avec une pointe de noisette caramélisée, amande brute), associées à une pointe acidulée de zeste de citron vert et de citron jaune. La bouche exprime en attaque un côté épicé savoureux (vanille, cardamome), une pointe boisée (noisette torréfiée, amande séchée), ainsi qu'une touche de miel. En milieu de bouche, on retrouve les notes de pêche jaune, d'abricot, d'écorces de citron confites, d'ananas frais, ainsi que de bois toasté (en fond), de beurre noisette et de cire. La finale est délicatement parfumée, mais assez persistante. On sent d'abord des notes de fruits à noyau juteux, qui évoluent ensuite vers des notes miellées, toastées et florales. Belle acidité salivante, de la complexité et de l'harmonie. (Septembre 2024, Guerin de Tourville Valentina)

Le gel a réduit de 85 % la récolte. Ce qui a pu être récolté est tendu, épicé, dynamique, de belle allure.

2023 - 2030

Un passage de 10 mois en fût pour ce chardonnay ouvert sur les fruits exotiques, les fleurs blanches et les épices du chêne. L'abricot et la pêche prennent le relais dans un palais souple, ensoleillé, qui charme par sa texture caressante et sa finale qui offre toute la tension attendue. Bien élevé, un meursault d'un bon classicisme dans le millésime. 2025-2030

Une exclusivité de la grande maison bourguignonne, le château de Blagny se situant en haut de la colline qui surplombe
Meursault et Puligny-Montrachet. Un chardonnay fermenté et élevé en fûts, très élégant, sur des arômes de brioche et de
fleurs d'acacia, tout en gardant de la fraîcheur et une belle tension. Pour une côte de veau à la crème ou des ris de veau braisés. (Frédérique Hermine)

Joli nez noisetté, le vin a du caractère et du charme, et plus de définition que dans quelques millésimes précédents : il va vite délivrer ses qualités.

Un 100 % chardonnay avec un nez plein de gourmandise sur des arômes de fleurs blanches et une pointe briochée (décembre 2022).

Ce grand vin blanc est un fleuron de la maison Louis Latour, particulièrement généreux, avec des notes de brioche beurrée et de noisettes grillées.

Un meursault bien typique de l'appellation, entendez par là d'une jolie richesse qui enrobe la bouche avec onctuosité. La belle surprise réside dans la finale qui conserve beaucoup de fraîcheur et préserve le vin de l'empâtement. La raison ? Les vignes sont postées dans un cirque en hauteur à I écart de la chaleur. La maison achète chaque année l'intégralité de la parcelle Elle a bien raison. (par Rémi Barroux, Laure Gasbarotto et Ophélie Neiman)

Sa robe d'un or pâle devance un nez à dominante florale (bouquet printanier) qu'une bouche délicate, grasse dès l'attaque adoucit amplement jusqu'à la finale briochée.

Avec une belle robe jaune pâle, ce vin se dévoile avec au nez des notes gourmandes qui évoluent sur des notes de beurre frais, de l'amande et des noisettes fraîches.

Beaucoup d'amplitude en bouche sur des notes de fleurs blanches et de brioche fraîche. La finale est tout en longueur sur des petites notes minérales.

Un excellent produit qui mérite un Coup de Coeur.

La maison Latour exploite une vaste parcelle de ce 1^er cru : ce sont 6 ha de vignes qui ont été convertis en bouteilles. Dans le verre, un vin floral et miellé au nez, souple, énergique et citronné en bouche. Un meursault clairement sur la fraîcheur plutôt que sur la puissance. 2018 - 2022. Turbot poché au citron

Avec une belle robe jaune pâle, ce vin se dévoile avec au nez des notes gourmandes qui évoluent sur des notes de beurre frais, de l'amande et des noisettes fraîches. Beaucoup d'amplitude en bouche sur des notes de fleurs blanches et de brioche fraîche. La finale est tout en longueur sur des petites notes minérales. Un excellent produit qui mérite un Coup de Coeur. Yves Sacuto

Un autre 1er cru ou trademark de la Maison rarement rencontré ailleurs (seuls 4 climats étant autorisés à revendiquer l'appellation Meursault-Blagny 1er cru - La Jeunelotte, La Pièce sous le Bois, Sous Blagny, et Sous le Dos d'Ane), celui-ci offre un vin floral, à l'élevage enrobant (1/3 de futs neufs), à l'acidité tonique, et possède une fraîcheur et une sapidité notable.

"Un bel équilibre"

Fin, assez minéral (...) A déguster de 2015 à 2022.

Par Jacques Dupont.

La robe est jaune-maïs. Dans le bouquet s'agitent avec frénésie des parfums de pâtisserie, d'iode et de camphre qui font preuve d'assez peu de retenue. Cela explique que sur le palais, la lavande caramélisée, le beurre salé et la vanille des îles paraissent d'abord timides, avant de mériter les applaudissements de la rétro-olfaction, qui leur jettent de manière bienveillante des exhalaisons anisées et fleuries. La finale est comme une ruche royale, où frétillent de manière hystérique de très riches et inquiets parfums toastés, de cire et de pêches blanches. Un vin vif et naturel, qui possède beaucoup de présence, sans artifices. Par Bertrand Rougier

Beau Meursault Premier Cru Château de Blagny 2010, d'un beau jaune franc, au nez subtil où dominent les fruits frais et le tilleul, qui associe une élégance certaine à une rondeur en bouche persistante.

Elégance, minéralité et fraîcheur, vin à croquer.

Une robe jaune clair aux reflets dorés. Le nez, expressif et distingué, évoque des notes de fruits secs, de grillé et de discrètes touches beurrées. La bouche est une bonne surprise, avec de l'amplitude et du gros. Très aromatique, ce vin termine sur une très bonne note de fruits secs en finale.